Souffrir de ce sacrilège qui me foudroie...
je le mérite
car tu vois Beatrice je t'ai attristée mainte fois
Par des mots dignes de va nu pieds
De pleurer mes maux et regrets sur papiers
j'ai fait un métier
Jusqu'à maintenant les dieux ne m'ont point pardonné
je suis bien lassé de ce manège :
du bonheur passager à mon éternel malheur
Je suis l'auteur
Le "Florilège" est là ou je meurs...