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  Accueil > Florilège > 2012  

Ombres - Aliscan

Je rêve - Djamila Amgoud

Passage de saisons - Gabriel Arnaud

Peau Neuve - Régine Beauvais

Requiem - Djamila Bélarbi

À l'envers - Françoise Biger

Message in a google - Bleudasi

A la Noël - Ludovic Chaptal

L'attente du chat - Marie-Josée Christien

Tes yeux - Daba

Je t'rêve - Jean Jacques Dorio

Fenêtre - Fabrice Farre

Accueillir - Floclochette

Empreintes devant - Gabriel Henry

La route - JVS

Sous la table - Rodrigue Lavallé

l'écriture... - Corinne Le Lepvrier

Marées - Loisolire

L'ami des fleurs - M.A

Encore un de passé - Antoine Maroulin

on pleure tout le temps, - Meslis

Le scarabée - Monti Egrer

Au fond du jardin - Vincent Motard-Avargues

l’éden inachevé - Károly Sándor Pallai

Des traces - Emmanuel Parmentier

Le Trou Bleu - Henri Philibert

La plage à Deauville - Mireille Podchlebnik

La vague chevelure - Yan Porsmoguer

Femmes actuelles - Anthony Puric

Terre de chair - Régine Raymond-Garcia

Il n’y a d’ailleurs - Jacques Rolland

Une Lyre du temps - Dina Sahyouni

Souvenirs du bonheur - Yann Salley

Le prince charmant a sonné chez ma sœur - Salvatore Sanfilippo

Comme vous - Sarah Denoirjean

Parler d'amour - Fabienne Thomas

Réveil - Shara Thomassaint-Mesli

Frottements mécaniques - Tom

Celui que je ne peux raconter - Valdosilasol

Exil - Stella Vinitchi Radulescu

 

Message in a google

Dans le réseau numérique du Monde

Comme prières, de ne pas répondre
Je balance ces bouteilles à la mer,
Messages privés, de destinataires.

//////@@@@@………$$$$$$$$

Ils débutent leur errance, et s’enfuient
Dans le canal de transmission, wifi
S’allant, traçant leur route, déroutés
Au travers des routeurs, polymérés.

Alors, débouchent dans le haut débit
Des courants du stream, et finissent ainsi
En la mer de métal, calme mer morte…
Où s’accumulent…nos mémoires mortes.

Marqués du Fer des moteurs de recherche,
D’aucuns, dont le moteur est la recherche
A Alger, Bali [ou même Paris !]
Au hasard, les ouvrent et les déplient.

Instant où prend chair [cher ?] le virtuel,
Sur leur texte arrêtent un temps leur réel…
N’y comprennent rien, peut-être sourient ?

Et passent à autre chose, ainsi va la vie.


© Bleudasi

www.myspace.com/bleudasi

     
     
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